Tendances des prénoms 2025 : ce qu’il faut savoir
Cette année encore, les prénoms suivent un véritable jeu des chaises musicales. Selon L’Officiel des prénoms 2025, publié le 5 septembre, Stéphanie Rapoport et Claire Tabarly Perrin dévoilent les grandes tendances à venir, inspirées des années précédentes. Pour les petites filles, la compétition est rude entre Ambre et Louise pour la première place, tandis que Alba, Jade, et Alma montent en flèche.
Les prénoms courts, surtout ceux se terminant par un « A », continuent de séduire les jeunes parents. Des prénoms comme Emma, Rose, et Romy restent dans le top 10, accompagnés d’autres incontournables comme Anna, Mia, Lina, et Inaya. Du côté des garçons, Gabriel, Raphaël, et Léo dominent toujours, bien que Maël, Louis, et Noah tentent de les détrôner.
Des prénoms qui grimpent dans les classements
Certains prénoms, comme Eden, progressent rapidement, passant de la 13e à la 9e place. D’autres, comme Arthur, Adam, et Jules, conservent leur popularité, tandis que Lucas, autrefois très prisé, recule dans le classement. Cependant, des prénoms comme Léon pourraient connaître une nouvelle popularité, notamment grâce à des figures publiques comme le nageur Léon Marchand, dont les exploits aux Jeux Olympiques renforcent la notoriété.
Prénoms à éviter selon les experts
Les experts rappellent que choisir un prénom est une décision à long terme qui peut avoir un impact sur la vie de l’enfant. Stéphanie Rapoport et Claire Tabarly-Perrin mettent en garde contre certains prénoms “boulets”, comme Loana, trop fortement associé à une célébrité. D’autres prénoms historiques comme Cassandre sont porteurs de connotations négatives, étant lié à une figure mythologique tragique.
En parallèle, Allison Banfield, spécialiste des prénoms, a partagé des recommandations similaires. Elle rappelle que l’originalité d’un prénom ne mène pas toujours aux moqueries, mais insiste sur le fait que certains prénoms, comme Dick ou Peggy, peuvent être sujets à des railleries en raison de leurs connotations culturelles.
En conclusion, bien que les prénoms suivent des modes, il est essentiel pour les parents de prendre en compte les éventuelles associations ou connotations négatives qui pourraient influencer la vie de leur enfant.